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Quels sont vos souhaits pour favoriser l’engagement au service de l’ensemble de la collectivité, dans une approche d’entraide et de non-violence? Cliquer ici et répondre sous forme de commentaire au bas de l’article.
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Message de Luke Martin
Finaliste du Prix du Public pour la Paix dans la catégorie Artisan de paix local
Homme de compassion, médiateur inné, ce bâtisseur de paix met son leadership au service du centre communautaire La Maison de l’Amitié et des relations interculturelles harmonieuses en milieu urbain à Montréal.
J’ai le cœur brisé en voyant la planète et tant de vies humaines détruites inutilement par la guerre, l’injustice et le consumérisme. Mais je suis soulevé par toute la bonté qui existe déjà dans le monde. Quand les personnes reconnaissent les autres comme des personnes, l’esprit de partage est présent, l’esprit de la joie est là, et l’esprit de l’unité est manifesté. Mon souhait pour tous en 2015 : nous voir les uns les autres comme des personnes!
Luke Martin
prixpublicpaix 
Merci Luke Martin! Tout à fait d’accord, c’est vrai, regardons nous les uns les autres comme des personnes, c’est le départ vers la paix globable!!!!
En communion avec ceux qui souffrent un peu partout dans le monde, notamment des atrocités de la guerre et la violence en Syrie, Iraq, Palestine, Afghanistan et Pakistan, je souhaite que les hommes choisissent de renoncer à la violence et la haine pour répandre la paix et l’amour.
Mon plus grand souhait est que le gens guérissent du mal de l’individualisme et qu’ils sintegrent dans une communauté ou chaque membre compte comme si c’était notre propre famille, sans égard de la couleur, le sexe, l’âge ou les finances. Juste une grande communauté ou chaque personne compte!
J’ai mal à ma Terre
De nourricière qu’elle était, elle devient austère.
Quelle galère!
J’en ai froid dans ma chair
Je reconnais plus mon pays, notre planète Terre
Cette nouvelle ère
me fait perdre mes repaires
J’ai besoin de croire, besoin d’affirmer que mes racines, que ces mailles,
qui ont tissé l’humanité jusque dans ses entrailles,
et qui ont construit ces systèmes social solidaires, pour toutes ses ouailles,
pour que puisse vivre cette solidarité, pour que personne ne se retrouve sur la paille.
J’ose croire que cette fibre, que mes racines ne sont pas anéanties.
J’ose croire que tout ce à quoi on assiste n’est que ce dont on a besoin pour nous secouer, nous sortir de notre torpeur, et nous faire affirmer haut et fort que ce n’est pas ce dont on est fait, ce dont on a besoin, et à quoi on aspire !
Oui, réclamons le maintien, voire la bonification, et sinon la reconstruction des mesures sociales qui nous ressemblent, nous caractérisent, et ont longtemps défini notre paysage
Pour permettre aux plus vulnérables, aux aînés, aux handicapés de pouvoir rester au cœur de notre société.
Oui, Mais aussi et surtout : décidons de nous-mêmes réinvestir, de nous réapproprier de ces valeurs sociales d’empathie, d’entraide, de tout ce qu’implique cette tradition du « tissé-serré » qui ont tricoté nos racines, qu’il ne tient qu’à nous de réanimer!
En 2015, nous aurons besoin d’être solidaires les uns les autres. Soyons unis pour que l’exploitation humaine diminue. Que chaque enfant du monde ait une chance d’être éduqué, nourri, logé.
Que toute la bonté humaine sorte de nos coeurs et nous amène à être meilleurs pour nous-mêmes mais aussi, pour nos proches et ceux qui nous entourent.
LE défi de nos communautés est de construire du NOUS avec une série de JE qui sont très bien entretenus par la société de consommation que le 0,1% nous impose. Fini chacun sa tondeuse, sa souffleuse (dans les pays du nord) pour une mise en commun des biens et des ressources FINIES, pour un meilleur usage de ceux-ci.