L’édition 2018 du Prix du Public pour la Paix innove en éliminant toute forme de compétitivité du processus de reconnaissance des lauréats!
Un prix qui ose sortir des vieux modèles élitistes
Le Prix du Public pour la Paix, seule distinction pour la paix au monde dans laquelle les candidats sont proposés, nominés et appuyés par de simples citoyen-ne-s de la planète, veut en faire encore plus pour encourager une culture d’entraide, de collaboration et de paix.
Ce qui est entièrement nouveau, en 2018, c’est que tous les participants seront appelés à contribuer à faire connaître chaque initiative ou artisan-e-s de paix, au-delà de toute forme de compétition.
Lire tous les détails sur la façon de proposer une initiative ou une personne au Prix du Public pour la Paix :
https://prixpublicpaix.org/proposer-une-initiative-ou-une-personne/
Pourquoi cette nouvelle approche collaborative? Parce que bien des concours et prix finissent involontairement par souscrire à une tendance à l’élitisme, laquelle crée invariablement plus de perdants que de gagnants. Il suffit de penser au nombre d’artisanes, artisans ou initiatives de paix qui ont été relégués dans l’ombre, en arrière de chaque proclamation officielle d’un « gagnant » ou d’une « gagnante ».
Rappelons que le PPP a déjà depuis quatre ans grandement contribué à faire connaître plus d’une trentaine de finalistes et lauréats dans le monde, et ce grâce au soutien du public.
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Volontaires et correspondant-e-s recherchés
Le Prix du Public pour la Paix recherche des rédacteurs, traducteurs, communicateurs, artistes, musiciens et correspondants dans divers pays pour contribuer au processus de reconnaissance des initiatives et artisan-e-s de paix dans le monde!
Écrire à : contact@prixpublicpaix.org
Bravo pour cette nouvelle approche!
Quelle bonne idée de procéder de cette nouvelle façon!
Connaissez-vous Mgr Georges Casmoussa, ancien archevêque syrien-catholique de Mossoul… il accompagne au prix de sa vie plusieurs familles dans un quotidien difficile avec la guerre … et qui vivent dans leur chair, ce que signifie “être chrétien” et le demeurer, au prix de leur vie.. Bonne continuation,
Marie-Hélène